Pour patienter, je vous propose donc une deuxième série de photographies.
Certaines ont été réalisées cette semaine dans mon environnement immédiat (maison, jardin).
Les autres, ont été sélectionnées comme une histoire, une sorte d'illustration des moments que nous vivons tous.
Pour commencer, ne bougez surtout pas... Regardez...
Mon mobile tourne en rond. On lui délègue le mouvement. Tourne tourne petit mobile, vive la vie, vive le vent.
Attendre. Bien dans ses pantoufles, bien mieux que droit dans ses bottes. Attendre, réfléchir, penser, regarder le mobile, tourner, tourner.
Regarder le bloc-notes sur l'étagère et avoir envie de danser. Un tango, pourquoi pas, le rythme semble correspondre à l'instant. Cool.
Les gants deviennent un accessoire obligé. Ceux-ci sont pour le jardin. Heureuses personnes disposant d'un jardin. Connaissons-nous notre chance ?!!
Les gants toujours. Ah oui, mais ceux-là ont servi à sortir de la maison. Oui, je sais ils ont l'allure d'un préservatif à cinq doigts. Autant ne pas laisser le virus se reproduire.
Un peu d'humour :
On ne voit plus d'habits sacerdotaux surtout dans la rue, encore moins sur des vélos.
Évidemment ici le vélo, çà sert d'auto.
Un ami m'a fait connaître le clocher qui a perdu les heures. Génial en cette période.
"Lorsque les jours ne trouveront plus les heures, la vieillesse sera vaincue".
Chacun dans sa bulle.
Chacun dans sa bulle et à chacun sa manière.
Allez bouge. Vous en rêvez, marcher, courir librement, sentir le vent sur vos joues, découvrir de nouveaux espaces, vivre normalement. Pas d’inquiétude, ça va revenir.
Descendre un escalier magique vous fait envie. Facile, pour l'instant le mieux est d'en rêver mais demain rendez-vous à Lyon et vous pourrez l'escalader.
L'escalier qui ne mène nulle part. Ne voyez pas là une projection de notre avenir. Il existe c'est vrai. Encore quelques semaines et nous y accolerons une nouvelle maison.
Ok, oui à moins que...
Oui je sais, là mon humour dépasse les bornes.
En même temps, c'est la guerre...
Oublions tout ça. Dormir, que le sommeil marque ma peau.
Rien ne va plus. La cabane penche. L'heure n'est pas encore au redressement. Patience.
C'est ce que je vois de ma fenêtre.
Oui, mais là, quelle est l'habitation qui penche ? La mienne ou celle d'en face ?
Nouvel espoir. Mettre un pied dehors. A bientôt.
Déjà, ou encore 14 jours sans sortir.
RépondreSupprimerPour patienter, je vous propose donc une deuxième série de photographies.
Certaines ont été réalisées cette semaine dans mon environnement immédiat (maison, jardin).
Les autres, ont été sélectionnées comme une histoire, une sorte d'illustration des moments que nous vivons tous.
Pour commencer, ne bougez surtout pas... Regardez...